Qu’est-ce qui nous empêche de devenir un voyageur slow?
Devenir un voyageur slow est avant tout une démarche volontaire et personnelle. En effet, entendre ou lire des informations concernant l’impact néfaste du tourisme sur le monde, ne suffit pas pour la majorité de la population à avoir un certain déclic. Le fameux déclic qui met en route une ensemble des réflexions, d’éco-gestes, de prises de décisions, menant ainsi vers une démarche de voyageur slow. Alors qu’est-ce qui nous empêche de devenir un voyageur slow ? Voici l’élément numéro 1 qui freine toute démarche vers le voyage durable.
« On ne fera pas un monde différent avec des gens indifférents. »
Arundhati Roy
L’élément numéro 1 pour devenir un voyageur slow
L’élément numéro 1 qui freine la démarche du voyage durable est donc de croire que changer notre façon de voyager n’aura aucun d’impact sur notre vie et sur le monde. Car le vrai voyage slow est transformateur ! En effet, lorsqu’on réalise des voyages écologiques, non seulement on développe une nouvelle façon de vivre, de se mouvoir dans le monde, mais en plus on contribue à influencer les pratiques sociales, à préserver l’environnement. Cela vous rappelle une légende célèbre et populaire n’est-ce pas ? La légende du Colibri !
La légende du Colibri et le slowtourisme
Pour rafraichir la mémoire, la fable du colibri est une légende amérindienne. Elle symbolise l’importance de chaque geste, chaque engagement et action, même dans une cause qui nous dépasse. En développant les bonnes habitudes, en connaissant les bons outils de recherche et en étant bien renseigné sur les valeurs du voyage écologique, nous pouvons créer une nouvelle façon de vivre les vacances.
Le slowtourisme est bien plus qu’une forme de voyage. C’est un concept de vie. Il s’agit de se reconnecter à l’environnement naturel qui nous entoure, et à notre propre nature. Ainsi, le voyage slow peut contribuer à notre quête du bonheur.